Tandis que l’homme est en elle comme l’épée dans son fourreau, la femme se laisse aller en arrière comme dans un rire intérieur qui s’épanouit dans un corps à la renverse. Elle peut ainsi donner libre cours à sa joie et à son plaisir. L’homme est en contemplation de ce corps qui s’ouvre et s’épanouit. Il est en lien avec tout l’être de celle qui lui offre sa jubilation.